• -Zéphyr ! je sais comment nous sortir de la ! je m'écriai

    -comment ? demanda-t-il en laissant un grand sourire de soulagement s'épanouir sur ses levres.

    -tu vas voir ! Umlea ! je criai Umlea, viens !

    ma fidele louve et garde du corps attitrée arriva par derriere la cascade, son poil mouillé par les projections de la chute d'eau. elle grogna un peu a l'encontre de Zéphyr, pour la forme, puis viens se couler entre mes jambes pour me séparer du garcon. Zéphyr me regarda sans comprendre.

    - elle va faire diversion, je lui expliquai, et pendant ce temps, on partira par un passage secret !

    -elle va faire diversion ? en leur passant entre les jambes ?

    -ne la sous-estime pas ! répliquais-je avec un air espiegle, elle peut etre vraiment sauvage quand elle veut !

    pour le démontrer, la louve se mit en position d'attaque, les babines retroussées le regard fou et lui aboya dessus. l'adolescent recula jusqu'a se coller contre la paroi de la grotte. je calmai Umlea en lui caressant les flancs puis eclatai de rire en voyant que Zéphir avait eu vraiment peur. je lancai donc Umlea sur le champ de bataille en lui expliquant quoi faire. on commenca a entendre des cris de panique peu après. je pris la main de Zéphir et l'entrainai derriere un  mur de lierre, tout cela en courant (pour moi) et en trébuchant (pour lui). on arrivait au bout du tunnel naturel quand je tombais nez a ... canon avec un horrible fusil. Quoi c'était pas encore fini les catastrophes ?


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  • selon Alex ce serai compliqué d'arriver a destination. moi, comme toute personne sensée, je pensais a des chengements de train, des heures d'avion ou une compression contre la vitre d'un bus. mais je ne m'attendais (mais alors pas du tout !) a ce qu'il me dit :

    - il va falloir qu'on marche pendant assez longtemps et jusqu'à assez loin...

    il dit ca avec des yeux inquiets, ce qui me fit comprendre qu'en fait, il ne blaguais pas ...a ce moment la, je soupirais de lassitude avant de me demander dans quoi (encore !) je m'étais fourrée. Alex dû comprendre parce qu'il reprit tout de suite :

    -mais ne t'inquiete pas ! ce sera sympa, on dormira a la belle étoile et on fera des feux de camps !

    - tu dis ca pour me motiver, je répondis, mais tu ne me dis pas tous les inconvénients : la pluie, l'inconfort, le froid et tout le reste !!

    je continuais avant qu'il essaie de me répondre :

    - mais d'abord, occupons nous de choses plus urgentes ! genre le fait qu'on est coincés derriere un mur d'eau, dans une grotte humide et froide (bien que très jolie) et qu'on a rien a manger !

    -j'avais presque oublié ! repliqua-t-il, on est tellement bien dans cette grotte, toi, moi et mes belles baskets !

    PARENTHESE : pour ceux qui ne le saurai pas, cette réplique "on est tellement bien toi, moi et mes belles baskets ! " est en fait tirée d'une pub pour Badoit (http://www.youtube.com/watch?v=rOuPe-zvuk8) FIN DE LA PARENTHESE

    prise d'un incontrolable et authentique fou rire, je me mis a glousser comme une poule, ce qui eu pour effet de conduire Alex a ma suite. au bout d'un certain moment, on réussit a s'arreter de rire betement et c'est a ce moment que j'eus une inspiration subite.

    - Au fait, dis-je, tu t'appelle pas vraiment Alex finalement ?

    -ah oui, répondit-il, je ne t'ai toujours pas dit ! je m'appelle Zéphyr. Zéphyr Mythis.

    comme il l'avait dit a la James Bond, je faillis me remettre a rire avant de  reprendre en main mes zygomatiques et de me calmer. je reflechis un instant au probleme qui se posait : comment partir d'ici sans se faire zigouiller ? et je finis par trouver !


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